Je ne l'aurais pas vu partir ...
Mamie avait pris la décision de terminer ses jours et d'en finir avec cette souffrance.
Pendant des mois, des années, elle ne s'est jamais plaint de quoi que ce soit, préférant garder ces maux de douleur en silence. Mais la maladie étant si forte, les derniers instants auront vraiment été durs.
Aujourd'hui, je n'ai plus de grand-parent. La vie va finalement si vite.
Je garderais en tête tous les bons moments partagés à Cabestany, la caserne des pompiers, au rugby, aux rifles ... tous ces repas où il y avait toujours ce que l'on aimait ...
Comme mon grand-père, Mamie n'aura jamais dit "non". Nous étions gatés.
Merci pour tout Mamie.
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