Je n'aurais pas gouté les "tapas" turcs mais j'aurais découvert de belles spécialités. A l'occasion du premier tour de coupe d'Europe, le hasard du tirage au sort nous a donné un adversaire méconnu : Kayserispor.
Kayseri ? Késaco ?
Après Kemer en juin, me voilà reparti pour la Turquie. Mais cette fois, ca ne sera pas la même ambiance. Pas de plage ensoleillée, pas de musique à gogo et de touristes en bikini.
Située à 300km de la Syrie et de Bagdad, Kayseri est ville très fondamentaliste. Et nous y arrivons en pleine période de ramadan. Le décor est planté. Impossible de grignoter ou d'allumer une cigarette en pleine journée en ville, les gens apprécient moyennement. Donc on respecte, on mange à l'hôtel et les fumeurs se cachent sur la terrasse ...
30° à l'arrivée à l'ombre, ça cogne sec ! Situé à flanc de montagne, plein climat continental, la température retombe vite le soir heureusement. Et après une journée intense, c'est l'idéal pour se reposer. Moi qui croyais me reposer et m'offrir (enfin) une grasse matinée, je vais vite déchanter.
5h du mat ... tous les hauts parleurs de la ville crépitent. Et évidemment, notre hôtel est situé face à la plus grande mosquée de Kayseri. Tout le monde debout ! Prière générale, l'imman vous souhaite une bonne et longue journée. Il croit pas si bien dire ... Je tente tant bien que mal de me replonger dans un sommeil réparateur.
Ce matin, visite du nouveau stade en construction, du centre d'entraînement du club et du quartier à proximité de l'hôtel. Derrière la grande mosquée se trouve le bazar. On ne dit pas "souk" en Turquie mais bien "bazar"... Moi qui croyais m'aventurer dans des ruelles sombres et étroites, je ne suis pas très surpris. Cependant, c'est tout de même spacieux, propre et les gens accueillants.
Certains membres de la délégation négocient des tapis. Prix de départ 300 €uros ... ca tombe à 80. "Pas cher ! Pas cher !" qu'ils disaient... Mais certains tapis sont splendides et le coin est visiblement réputé pour cela. Pas trop mon truc les tapis.
Installés dans un hôtel grand standing, on aura modérement gouté aux spécialités locales. Mais curiosité oblige, j'ai découvert de belles choses. Notamment le Manti (pâtes à la viande, cuisinées dans une sauce tomate épicée, accompagnées d'un yaourt aillée). Un peu lourd mais relevé. Donc j'ai aimé.
Je passe sur les nombreuses patisseries locales bien lourdes... on est sur de pas tomber en crise d'hypoglicémie ici !
Une petite victoire (2-1) dans un stade comble. Nous sommes rentrants souriants. Match retour dans 15 jours à Paris. Si nous nous qualifions, nous aurons droit à deux nouveaux déplacements en Europe.
Les voyages forment la jeunesse :)
dimanche, septembre 21, 2008
A la frontière de l'Asie et du Moyen-Orient
Certainement la plus belle vue. La grande mosquée de Kayseri, ses anciens remparts et le grand bazar de la ville.
Pas évident de se comprendre.
Peu de mots similaires. Les turcs parlent peu anglais en encore moins français. Ici un panneau "Stop"
samedi, septembre 20, 2008
mardi, septembre 09, 2008
Un vent nouveau souffle sur Paris !
Au rayon des tapas, rien de bien chaud ces derniers temps. Quelques trémous sportifs, un PSG en jambe, des Bleus moins bleus et des amis qui vont bien.
L'actualité "tapasienne" est donc relativement calme. Mais à l'aube d'un 31ème anniversaire en approche rapide, la douce bise venue de l'été pourrait se transformer en une belle tramontane.
Un vent nouveau souffle sur Paris. Et je n'y échappe pas. La rentrée des classes est passée, les jeunes parisiens se sont remis au boulot. Même chose au bar à Tapas avec une actualité rafraîchissante et intense.
Au programme donc : au Sud, Victor voit la famille grandir, le lancement officiel du canapé. Un anniversaire en approche. Celui du fréro est également imminent. Et quelques tergiversations professionnelles qui pourraient débouler sur une belle surprise. On parlerait à ce moment là de véritable tempète. Mais nous n'y en sommes pas et profitons donc de cette douce bise estivale ... les dernières températures agréables sont encore Paris.
Au Sud, que du nouveau !
Victor est tout excité à l'idée de voir la famille s'agrandir. Hugo et Rachel ont bien fait les choses, ils lui ont promis qu'il ne serait plus seul. Et bientôt nous aurons le bonheur de voir les Barbera se multiplier. On croise les doigts. Un gros bisous à eux... j'aimerais voir Victor plus souvent, le voir grandir et faute de dispo, je suis contraint de le voir pousser les murs via les photos et les récits que j'obtiens de temps en temps.
La rentrée s'est bien passée pour lui. Je l'imagine en train de dragouiller toutes les petites nanas de la maternelle. Faut dire que chez les Barbera, on va le mettre à bonne école. Quoi que de ce côté là, je ne sais pas si je suis un bon exemple. Mais on ne s'inquiète pas les amis... J'y travaille avec beaucoup d'assiduité.
Faura que je récupère une petite photo de Victor, histoire d'actualiser le blog et qu'on comprenne tous que ce n'est pas un Barbera pour rien !
Lancement officiel du Canapé.
Je n'ai encore rien fait pour célébrer l'arrivée du canapé au Bar à Tapas. Comme tout évènement qui se doit ... il faut festoyer. J'ai prévu de rassembler les amis autour d'une soirée fromage & vin. Photos, essayage du canapé pour les invités et interviews prochainement sur le blog. Il me reste à trouver un thème original pour habiller la soirée.
Des tergiversations professionnelles...
Les sirènes sont belles et lorsqu'elles vous font du pied, il est difficile d'y rester insensible. Et cette métaphore s'applique aujourd'hui au niveau professionnel. Pour des raisons de discrétion évidente, je n'évoquerais rien de plus à ce sujet. Mais la seule chose que je peux dire, c'est que si je me trouve très bien au PSG, il y a des propositions qui titillent l'esprit. Des news as soon as possible ...
En 2008 : 31 ans.
Si l'an passé, je me suis laissé aller à arrêter le temps et faire le point sur ma vie... il n'en sera rien cette année. Non pas que je ne considère pas la chose mais il est vrai que 30 ans, c'est un chiffre rond. Et la barre de la vingtaine était définitivement passée. Cette année, grosse réflexion sur le programme des festivités. J'aimerais trouver un endroit simple où l'on pourra réunir tout le monde, quelque chose de champêtre, où l'on pourra passer la journée à partager.
Le plus compliqué reste le planning à gérer ... A cette période là, il y aura 2 matches du PSG le 29/10 (contre Toulouse) et le 1er/11 (à Nice). Donc pour la journée "champêtre" pas facile ... mais un bon brunch devrait plus rigolo et original. Même si je suis certain que je ne vais pas échapper à la soirée arrosée, connaissant les phénomènes qui voudront me faire tomber. Défi relevé ! Pour mes 30 ans, j'ai eu droit à une splendide cave à vin, remplie (qui plus est !). Il serait de bon ton pour mes 31 ans de venir découvrir ce qui se cache à l'intérieur ...
Le vent souffle sur Paris en cette fin d'après-midi. Le ciel s'est dégagé. On aperçoit l'horizon et ça semble pas mal du tout... Mais on en est loin :)
D'ici là, portez vous bien.
L'actualité "tapasienne" est donc relativement calme. Mais à l'aube d'un 31ème anniversaire en approche rapide, la douce bise venue de l'été pourrait se transformer en une belle tramontane.
Un vent nouveau souffle sur Paris. Et je n'y échappe pas. La rentrée des classes est passée, les jeunes parisiens se sont remis au boulot. Même chose au bar à Tapas avec une actualité rafraîchissante et intense.
Au programme donc : au Sud, Victor voit la famille grandir, le lancement officiel du canapé. Un anniversaire en approche. Celui du fréro est également imminent. Et quelques tergiversations professionnelles qui pourraient débouler sur une belle surprise. On parlerait à ce moment là de véritable tempète. Mais nous n'y en sommes pas et profitons donc de cette douce bise estivale ... les dernières températures agréables sont encore Paris.
Au Sud, que du nouveau !
Victor est tout excité à l'idée de voir la famille s'agrandir. Hugo et Rachel ont bien fait les choses, ils lui ont promis qu'il ne serait plus seul. Et bientôt nous aurons le bonheur de voir les Barbera se multiplier. On croise les doigts. Un gros bisous à eux... j'aimerais voir Victor plus souvent, le voir grandir et faute de dispo, je suis contraint de le voir pousser les murs via les photos et les récits que j'obtiens de temps en temps.
La rentrée s'est bien passée pour lui. Je l'imagine en train de dragouiller toutes les petites nanas de la maternelle. Faut dire que chez les Barbera, on va le mettre à bonne école. Quoi que de ce côté là, je ne sais pas si je suis un bon exemple. Mais on ne s'inquiète pas les amis... J'y travaille avec beaucoup d'assiduité.
Faura que je récupère une petite photo de Victor, histoire d'actualiser le blog et qu'on comprenne tous que ce n'est pas un Barbera pour rien !
Lancement officiel du Canapé.
Je n'ai encore rien fait pour célébrer l'arrivée du canapé au Bar à Tapas. Comme tout évènement qui se doit ... il faut festoyer. J'ai prévu de rassembler les amis autour d'une soirée fromage & vin. Photos, essayage du canapé pour les invités et interviews prochainement sur le blog. Il me reste à trouver un thème original pour habiller la soirée.
Des tergiversations professionnelles...
Les sirènes sont belles et lorsqu'elles vous font du pied, il est difficile d'y rester insensible. Et cette métaphore s'applique aujourd'hui au niveau professionnel. Pour des raisons de discrétion évidente, je n'évoquerais rien de plus à ce sujet. Mais la seule chose que je peux dire, c'est que si je me trouve très bien au PSG, il y a des propositions qui titillent l'esprit. Des news as soon as possible ...
En 2008 : 31 ans.
Si l'an passé, je me suis laissé aller à arrêter le temps et faire le point sur ma vie... il n'en sera rien cette année. Non pas que je ne considère pas la chose mais il est vrai que 30 ans, c'est un chiffre rond. Et la barre de la vingtaine était définitivement passée. Cette année, grosse réflexion sur le programme des festivités. J'aimerais trouver un endroit simple où l'on pourra réunir tout le monde, quelque chose de champêtre, où l'on pourra passer la journée à partager.
Le plus compliqué reste le planning à gérer ... A cette période là, il y aura 2 matches du PSG le 29/10 (contre Toulouse) et le 1er/11 (à Nice). Donc pour la journée "champêtre" pas facile ... mais un bon brunch devrait plus rigolo et original. Même si je suis certain que je ne vais pas échapper à la soirée arrosée, connaissant les phénomènes qui voudront me faire tomber. Défi relevé ! Pour mes 30 ans, j'ai eu droit à une splendide cave à vin, remplie (qui plus est !). Il serait de bon ton pour mes 31 ans de venir découvrir ce qui se cache à l'intérieur ...
Le vent souffle sur Paris en cette fin d'après-midi. Le ciel s'est dégagé. On aperçoit l'horizon et ça semble pas mal du tout... Mais on en est loin :)
D'ici là, portez vous bien.
Guimaraes et le Portugal au soleil
1er et 2nd août, derniers matches de préparation du PSG avec Vitoria Guimaraes et Benfica Lisbonne.
Nous aurons passé un petit moment sympa, invités au Tournoi de la Ville de Guimaraes, à l’occasion des 100 ans de la Ville. Guimaraes était en effet la première capitale de l’histoire du Portugal. C’est une petite ville de 160 000 habitants, agréable, à tout juste une heure au sud de Porto. Le club du Vitoria SC a crée la sensation du dernier championnat portugais : promu, il termine à la troisième place pour sa première saison parmi l’élite et accède aux phases préliminaires de la Ligue des champions !
Rendez-vous est pris au stade Afonso Henriques, en hommage au 1er roi portugais. Après l’Euro 2004, les clubs portugais bénéficient de structures modernes. Et nous sommes donc accueillis dans un stade bien adapté, pour l’accueil des médias notamment.
Juju, Anto et Christian sont du déplacement pour représenter les médias du Club. Nous sommes logés au Villa Hotel, petit établissement récent et design, appartenant au Président du Club du Vitoria Guimaraes lui-même. Ca sent la mafia locale !!! Mais nous sommes cordialement invités et bien accueillis. Aucune raison de se plaindre. On en aura profité pour se balader dans le centre pittoresque du vieux Guimaraes fortifié, au cœur des remparts.
2 matchs pour ce petit tournoi, un nul et une défaite plus tard … un bilan modeste pour une équipe en pleine préparation, sans Makelele et Giuly, indisponibles.
Et un retour le dimanche à … 7h du matin, avec un coucou à hélices qui aura mis un temps fou pour décoller de Porto.
Les voyages forment la jeunesse …
Ci-dessous, voyage embarqué avec les médias du club.
Nous aurons passé un petit moment sympa, invités au Tournoi de la Ville de Guimaraes, à l’occasion des 100 ans de la Ville. Guimaraes était en effet la première capitale de l’histoire du Portugal. C’est une petite ville de 160 000 habitants, agréable, à tout juste une heure au sud de Porto. Le club du Vitoria SC a crée la sensation du dernier championnat portugais : promu, il termine à la troisième place pour sa première saison parmi l’élite et accède aux phases préliminaires de la Ligue des champions !
Rendez-vous est pris au stade Afonso Henriques, en hommage au 1er roi portugais. Après l’Euro 2004, les clubs portugais bénéficient de structures modernes. Et nous sommes donc accueillis dans un stade bien adapté, pour l’accueil des médias notamment.
Juju, Anto et Christian sont du déplacement pour représenter les médias du Club. Nous sommes logés au Villa Hotel, petit établissement récent et design, appartenant au Président du Club du Vitoria Guimaraes lui-même. Ca sent la mafia locale !!! Mais nous sommes cordialement invités et bien accueillis. Aucune raison de se plaindre. On en aura profité pour se balader dans le centre pittoresque du vieux Guimaraes fortifié, au cœur des remparts.
2 matchs pour ce petit tournoi, un nul et une défaite plus tard … un bilan modeste pour une équipe en pleine préparation, sans Makelele et Giuly, indisponibles.
Et un retour le dimanche à … 7h du matin, avec un coucou à hélices qui aura mis un temps fou pour décoller de Porto.
Les voyages forment la jeunesse …
Ci-dessous, voyage embarqué avec les médias du club.
La vrai star ... c'est tonton !
Au PSG depuis 21 ans, Jean-Claude méritait de passer sur le blog de Tapas !
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